Victor KOULBAK a une place à part dans l’art contemporain, celle d’un maître dans la lignée des artistes de la Renaissance dont il a intégré toutes les disciplines. Ses oeuvres sont donc rares: il dessine à la pointe d’argent, technique d’une extrême délicatesse, sur des papiers qu’il confectionne lui-même pour leurs qualités esthétiques et leur résistance au temps et, quand il peint, il prépare ses couleurs et ses toiles avec la rigueur et la générosité des Vinci, Dürer et Holbein qui l’inspirent.

Mais, plus profond que ces hautes références et sa perfection technique, il y a dans son art une ‘foi profonde’, celle que souligne Son Altesse Royale le roi Charles III. La quête de la béauté chez Victor Koulbak est celle d’une ‘manifestatin divine ». Cette aspiration « confère à son oeuvre une dimension presque sacrée qui la situe au-déla des modes et des limites du temps ».

Le succès de ses expositions en témoigne un peu partout dans le monde: des Etats-Unis au Japon, de l’Angleterre au Canada, de la Suède et la Norvège à l’Italie et à Malte, sans compter bien sûr la France, la Belgique, l’Allemagne et l’Autriche.